Titre : | Paul Friesé, 1851-1917 : architectures de l'âge industriel |
Auteurs : | Hugues Fiblec, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Paris : Norma Editions, 1991 |
Collection : | Collection Les Années modernes, ISSN 1159-456X |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-909283-02-9 |
Format : | 1 vol. (159 p.) / ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. / 29 cm |
Note générale : |
FONDS MARTIN VEITH
Bibliogr. p. 154-155. Index |
Langues: | Français |
Index. décimale : | Architecture |
Catégories : |
[Archirès ] 001 Histoire de l'architecture > Histoire de l'architecture [Archirès ] 001 Histoire de l'architecture > Histoire de l'architecture > Architecture de fer [Archirès ] 005 Typologie de l'architecture > Typologie de l'architecture > Architecture industrielle [Archirès ] 012 Typologie des bâtiments et équipements divers > Typologie des bâtiments > Bâtiment industriel [Archirès ] 012 Typologie des bâtiments et équipements divers > Typologie des bâtiments > Bâtiment industriel > Usine |
Résumé : | "C'est à un voyage au cœur de la seconde révolution industrielle, à l'époque où Paris inaugure son métropolitain et s'éclaire à l'électricité, que nous invite l'oeuvre de Paul Friesé (1851-1917). Formé à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, il se lance dans l'architecture de l'industrie, un domaine jugé alors ingrat à couse de ses nombreuses contraintes techniques. Sa brève association avec l'ingénieur Jules Denfer lui ouvre la commande de la grande bourgeoisie industrielle : en 1898 Edouard Empain le nomme architecte du Métropolitain de Paris. Paul Friesé donnera à l'usine sa véritable dimension urbaine en élaborant une nouvelle infrastructure de la ville moderne, la centrale électrique. Il concentre dans la commande de vingt sous-stations de transformation électrique le meilleur de sa pratique architecturale où verre et acier s'associent dans une nouvelle typologie d'édifices. En recevant la médaille d'or au Salon de l'architecture de 1904, il rejoint le voeu formulé un demi-siècle plut tôt par César Daly : L'architecture dans ses rapports avec l'industrie mérite la profonde attention des artistes sérieux. Figure du nouvel âge industriel, Friesé prolonge le rationalisme de Viollet-le-Duc et impose la centrale électrique comme symbole de la nouvelle architectonique de l'usine du XXe siècle". (4ème de couv.) |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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033969 | B.02/FIB | Livres | CENTRE DE DOCUMENTATION | Architecture (B) | Exclu du prêt |