Titre : | Vagues, vides, verts (1997) |
Auteurs : | François Béguin, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Le visiteur (3, Octobre 1997) |
Article en page(s) : | p.56-69 |
Langues: | Anglais ; Français |
Index. décimale : | Urbanisme |
Catégories : |
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Résumé : | Parmi les paysages qui ont exprimé les visages de la banlieue moderne, les terrains vagues occupèrent longtemps une place éminente. L’image des libertés d’usage qu’ils offraient compensait sans doute en partie les inconvénients d’une confrontation devenue malheureuse entre la ville et sa proche campagne. Dans la littérature, au cinéma, sur de nombreuses photos, ils donnèrent ainsi souvent à la banlieue son air bon enfant : des étendues au statut indéterminé, parsemées de rebuts en tout genre, servant de supports à de petites stratégies d’occupation du sol. Terres ouvertes à l’aventure et au bricolage, ils perpétuèrent aussi le souvenir des entreprises singulières que la ville dense et continue finissait d’exclure de ses rues. |