Titre : | Pendre soin des urbains : dossier (2018) |
Auteurs : | Collectif, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Urbanisme (410, Octobre 2018) |
Article en page(s) : | p. 24-63 |
Langues: | Français |
Index. décimale : | Urbanisme |
Catégories : |
[Archirès ] 022 Villes et groupements habités > Analyse urbaine > Espace urbain [Archirès ] 023 Aménagement et planification du territoire > Aménagement du territoire |
Résumé : |
"(...) Les urbains veulent une ville saine, et qu’elle devienne un facteur de bien-être. Depuis longtemps, comme le rappelle la géographe Anne-Peggy Hellequin dans ce dossier, la ville est à la fois perçue comme pathogène (« les miasmes urbains ») et comme un lieu de progrès en matière d’hygiène et de la salubrité publique. Avec un paradoxe : même après la décentralisation, les villes ont peu de pouvoirs en matière de santé publique. Charlotte Marchandise-Franquet, présidente du réseau français des Villes-Santé de l’OMS, rappelle que leurs actions relèvent du seul volontarisme. Et pourtant, même si de nombreux enjeux sanitaires se situent à une autre échelle, leurs initiatives sont nombreuses et prometteuses.Ici, nous nous intéressons à la manière dont la ville impacte négativement sur la santé, mais surtout nous mettons en lumière de nouvelles approches positives, qui intègrent des objectifs de santé dans sa fabrication. On parle d’un « urbanisme favorable à la santé » et « d’évaluation d’impact sur la santé » ; des PLUI commencent à intégrer cette dimension. C’est le résultat d’une approche systémique promue notamment par l’École des hautes études de santé publique."
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